200 millions d’euros sont proposés à des entreprises qui ont activement participé à la désindustrialisation de notre pays.
Deja en 2004, Jean Pierre RAFFARIN voulait offrir 1 milliard d'euros aux entreprises qui relocaliseraient.
L’objectif du plan est de relocaliser 40 entreprises et recréer 2000 emplois soit une moyene de 5 millions d’euros par entreprise et 50 emplois, soit 100 000 euros d'aide par salarié embauché pour des entreprises peu soucieuses de leurs salariés et qui penseront déjà à repartir dés qu’elles auront empoché les aides de l’état.
Il est peu probable que des emplois de production reviennent, mais plutôt des emplois de recherche ou création, souvent dans le but de continuer à bénéficier de l’image de qualité française et jouir d'un effet de communication. Parfois ces postes auraient été créés meme sans prime.
La relocalisation du Coq sportif à Romilly sur Seine a permis de recréer 13 emplois alors que 3000 emplois ont disparu au cours des dernières années chez Olympia dans cette même ville.
Le retour de Rossignol a également été très médiatisé mais 20 emplois seulement ont pu être créés.
Un lunetier du Jura qui n'a relocalisé que 7 % de sa production a également profité de cette publicité gratuite.
Au lieu d’attendre le bon vouloir d’entreprises qui ont abandonné des régions et leurs salariés et en lesquelles on ne peut plus avoir totalement confiance, peut être serait il plus judicieux de financer de nouveaux projets créateurs d’emplois comme le notre.
Bien utilisé, ce montant de 200 millions pourrait permettre de créer beaucoup plus d'emplois. Francis Journot
REJOIGNEZ NOUS !
Vous pouvez apporter votre soutien au projet en repondant au sondage, en écrivant un commentaire, en vous abonnant à la newsletter et en parlant de "vêtements made in France" autour de vous.
si vous ajoutez un commentaire, vous pouvez vous présenter aux internautes en indiquant votre prénom, votre nom si vous le souhaitez, votre age, votre profession ou votre dernier diplôme et votre ville.
Exemples : Aurèlie F, 26 ans, Montreuil (93), diplômée Sciences Po, en recherche d’emploi
Sabine, styliste, Paris
Elisabeth Dumez, 50 ans, mécanicienne confection, licenciée, Troyes (Aube)